La majorité des cégeps et des universités du Québec ont commencé à intégrer des activités de prévention pour lutter contre les violences sexuelles, mais celles-ci ne font l’objet d’aucune évaluation pour savoir si elles donnent des résultats concrets.
Pour mieux comprendre les enjeux, Le Devoir s'est entretenu avec Martine Hébert Ph.D. - UQAM